LES OISEAUX : le vol

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Le vol des oiseaux :

    Les oiseaux semblent voler sans effort. Rien de plus faux.
 Le décollage est la phase la plus dificille.Les ailes fonctionnet aux mieux lorsqu'elles reçoivent l'action du vent. Par conséquent, tant que l'oiseau n'a pas pris de la vitesse, il ne peut compter que sur sa force musculaire.
Mais une fois son rythme de croisière acquis, il peut économiser son énergie en se laissant propulser par le vent ou porter par les ascendances thermiques. Il peut même en profiter pour faire un petit somme.

Le vol à voile :



    Les oiseaux de proie volent haut en profitant des remontées d'air chaud appelées ascendances thermiques. Pour ce faire, il doivent décrire des mouvements curculaires. Après être montés en haut de la colonne d'air chaud, ils peuvent planer pendnat des kilomètres sans le moindre battement d'ailes.


Les voiles d'oiseaux ;

    Des milliers d'étourneaux peuvent former des nuages sombres, brusquement enversé quand les oiseaux descendent en piqué les uns après les autres. Un vol en groupe offre plusieurs anvantages. S'il se décale un peu, latéralement, chaque oiseau bénéfice des tourbillons ascendants engendrés par les battements des ailes de celui qui le précède. C'est pourquoi les canards et les oies forment des vols en V. Le vol collectif facilite aussi la recherchr de la nourriture et protège des prédateurs.

Différents styles de vols :

Les petits oiseaux replient leurs ailes pour des pauses à peine perceptibles : leur trajectoire de vol monte et descend sans cesse. Les canards et les oies battent des ailes en continu : ils sont rapides et très vigoureux, mais consomment rapidement leurs réserves d'énergie. Les oiseaux de grande envergure, tels les vautours et les albatros, pratiquent vol à voile et vol plané, profitant des ascendances thermiques ou de la vitesse acquise.













L'atterrissage :


    L'atterrissage exige moins d'efforts que le décollage, mais demande une certaines adresse, surtout pour les oiseuax percheurs. Pour perdre de la vitesse, les oiseaux redressent leurs ailes et leur corps et abaissent leur queue. Ils sont nombreux à posséder une touffe de plumes stabilisatrice insérée sur le pouce, l'alule, qui leur évite de perdre l'équilibre en ralentissant.






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